AMADIS DE GAULE (1779) Tragédie lyrique de Jean-Chrétien Bach – Livret d’Alphonse de Vismes Opéra Royal de Versailles – 10 et 12 décembre 2011 Théatre de l’Opéra Comique – 2 au 8 janvier 2012 Direction musicale : Jérémie Rohrer Mise en scène : Marcel Bozonnet Chorégraphie : Natalie van Parys Décor : Antoine Fontaine Costumes : Renato Bianchi Lumières : Dominique Bruguière Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles Orchestre Le Cercle de l’Harmonie Compagnie Les Cavatines : Emilie Brégougnon, Angèle Fontaine, Léa Pérat, Tanja Skok, Gilles Poirier, Artur Zakirov Cette oeuvre charnière de l’évolution musicale au XVIIIe siècle a suscité un passionnant travail sur le style chorégraphique du ballet d’action initié par Jean-Georges Noverre. La presse : Le Nouvel Observateur – Raphaël de Gubernatis – 31 décembre 2011 Une chorégraphie spirituelle de Natalie van Parys, parfaitement intégrée à la mise en scène et fort bien exécutée par la compagnie Les Cavatines. Une chorégraphie écrite dans le style de la Belle Dance pour les parties nobles et graves, ou inspirée des danses populaires d’Europe orientale pour les parties plus fantasques, tout juste comme on l’eut fait jadis quand un Noverre, auteur des ballets d’Amadis en 1779, savait puiser son inspiration dans les univers les plus « exotiques ». Les Echos – Philippe Venturini – 2 janvier 2012 Les costumes chamarrés de Renato Bianchi et la chorégraphie inventive de Natalie van Parys participent grandement à la réussite visuelle de cette découverte. The New York Times – Georges Loomis – 20 décembre 2011 Les chorégraphies inventives de Natalie van Parys ajoutent à la splendeur. Libération – E. Lo – 4 janvier 2012 Bon point pour les chorégraphies de Natalie van Parys. Artistik Rezo.com – Edouard Brane Devant les décors d’Antoine Fontaine et les chorégraphies de Natalie van Parys, la magie prend forme sur scène, et particulièrement au troisième acte. C’est surtout grâce à la dextérité des danseurs Gilles Poirier et Artur Zakirov que les chanteurs sortent de leur rigidité. Anaclase – Monique Parmentier – 12 décembre 2011 Ce sont les chorégraphies de Natalie van Parys que l’on apprécie : elles s’avèrent inventives, jouant sur la virtuosité parfois, mais aussi sur l’élégance du geste. |